Le Brésil était une évidence dans le choix des pays de notre périple » Rio a accueilli les derniers JO. Tous les athlètes et personnes qui ont vécu ces JO les ont trouvés superbes, ont apprécié l’accueil et la vie sur place.
Le Brésil a une culture sportive forte, notamment une culture football incroyable, et a vécu une décennie d’exception en matière d’organisation de grands événements sportifs jusqu’aux JO de Rio . Les JO c’est une ouverture à tous les autres sports et une belle vitrine pour ce pays Immense et qui ne laisse personne indifférent.
Mais le Brésil vit aussi des crises économiques, sociales et politiques fortes si bien que le sport n’est pas une priorité d’Etat et en souffre.
Les clubs sportifs sont organisés sur un modèle économique privé, avec pour conséquence des coûts d’adhésion très élevés car ils ne reçoivent pas de subventions publiques. Cela signifie que les classes populaires, c’est-à-dire celles des favelas, n’ont aucune possibilité d’accéder au sport organisé en dehors des programmes publics et des infrastructures gratuites et libres d’accès, et de l’action des ONG.
Les Idéaux Olympiques sont pleinement confrontés à la réalité d’un monde complexe.
En 2016, les athlètes et touristes se sont tous sentis très bien accueillis pendant les Jeux Olympiques. La fête était belle, nous avons tous vibré au rythme des performances. La crise et les déboires politiques ont vite fait oublier l’euphorie de l’événement. Alors pour les Brésiliens, que reste t’il des Jeux Olympiques de Rio ? Quels moyens ont les sportifs pour se préparer aux échéances internationales?
En pleine grandes vacances et quelques semaines avant le fameux carnaval, nous ferons un passage obligé par l’apprentissage de la capoeira à Salvador de Bahia pour goûter la culture brésilienne et aborder la pratique sportive en pleine forme!
2 octobre 2019
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